dimanche 23 août 2009

Aux Champs Elysées, la la la la la

La la la la la : ce n'est pas un vibrant hommage à Joe dassin, mais le générique de fin de McDo ... Une fois écrit, ça ne semble pas très évident, mais c'est là que se déroule l'action ...

Marmiton et moi-même sommes partis découvrir la capitale. Point de grand découverte du site sans une petite remontée des Champs. Comme il était l'heure de se sustenter, nous avons décidé de nous trouver une petite échoppe typiquement parisienne, mais devant le choix pléthorique qui s'offrait à nous (Quick et Mc Do ...) nous nous sommes arrêtés chez Ronald.

Et c'est à ce moment là que notre calvaire a commencé. Des files interminables se consumaient alors que nous en étions toujours au même point dans la notre. Il faut dire que de petites malignes faisaient la queue individuellement, puis appelaient leur essaim de copines qui commandaient chacune leur tour en hésitant bien sur chaque choix du menu. A leur décharge, je peux admettre que choisir et un sandwich, et des frites et une boisson relève du défi. Notre préposé à la distribution était particulièrement lymphatique, il a donc reçu un renfort au bout de 45 minutes.

Nous avons donc eu l'occasion de passer commande en un temps record, et avons emporté nos glaces directement, par cette douce soirée (le mercure approchait des 33°).

Arrivés sur la terrasse, des tables libres !!! Mais pas de chaises ...

Une table agrémentée de chaises se libère quand même. Alors que Marmiton se fraye un passage de sa démarche chaloupée, une chalo(u)pe (excusez-moi du terme), en profite pour lui piquer sa chaise et s'enfuir avec. Cri énervé de votre serviteure !!

Les nerfs lâchent ... Nous sommes finalement assis, et dégustons nos glaces en apéritif (chaleur oblige). Fou rire. Que je dois dissimuler, mais j'ai une immense difficulté à rester digne. Marmiton vient d'arracher une cuillerée de glace à son cornet au prix d'efforts considérables, mais reste bouche bée devant le tee-shirt noir constellé de glace vanille de notre voisin, assis de dos ...

Oh, ça va, ils ont dit "venez comme vous êtes" ! Nous, on est repartis comme on est venus ...

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